Histoire

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Dans le temps médiéval des Werlen sont documentés en:

· Suisse

· Allemagne (von Werlen)

· Hollande (van Werlen)

Les lignes allemandes et hollandaises sont éteintes.

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En Suisse les Werlen ont leur origine dans les régions alémanique du canton du Valais. Nous distinguons aujourd’hui trois lignes:

· Obergoms

Villages: Münster, Geschinen, Ulrichen, Obergesteln.

· Loetschental

Villages: Ferden, Kippel, Wiler, Blatten.

· Schattenberge

Villages: Bürchen, Unterbäch.

Il n'y a aucune évidence d’une origine commune de ces trois lignes. Les Werlen avec origine Ulrichen vivent aujourd’hui seulement en Argentine.

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Histoire de la ligne de l’Obergoms
L'histoire des autres lignes n'étais pas encore publiée en français. Mais en générale on peut dire, que tous les lignes partagais le même passé e la même culture.

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Entre les années 800-1300 une communauté qui parlait allemand a colonisé les plus hautes vallées de l'Alps. Cette communauté était extrêmement adaptée à la vie alpine dans des régions trop inhospitalières pour les habitants romains celtiques des vallées inférieures. Plus d'informations au sujet de ces colons alpins, aujourd'hui connus comme Walliser et Walser, vous trouvez ici.

Nous pouvons supposer, que les ancêtres des Werlen étaient parmi les colons alpins qui s’installée autour de l'année 1000 dans l'Obergoms (Haut-Conches). Ils ont reçu les terres du prince évêque du Valais et ils ont obtenu l'indépendance juridique et économique, comme ils ont réussi à faire usage du statut de colons.

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L'aïeul de la ligne de l’Obergoms était probablement Peter Werlen, né approximativement en 1340. Des le 14^ème siècle ont trouve dans les documents beaucoup de Werlen. Des données généalogiques complètes sont disponibles depuis l’an 1664. Auparavant les liens parentèle sont plus au moins « spéculatifs » (voire aussi la page « origine des noms »).

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Les ancêtres des Werlen étaient des hommes libres, de bons éleveurs de bétail et des honnêtes cultivateurs de leur propre terre - occupés à rassembler durant le court été assez de foin pour le donner à manger en hiver à leur fierté: les vaches!

Ils étaient aussi très fiers de leur maisons de bois sombre et « last but not least» de leurs enfants. Parmi eux un nombre extraordinaire de fils et filles qui ont servi l'église. Par exemple dans les années 1690, en une seule famille, 3 prêtres. Dans les années 1940 quatre frères sont en même temps Gardes Suisse. Remarquable aussi la dernière contribution des Werlen: L’abbé Martin. Il a été nommé en 2001 à l'âge de 32. Il est la plus jeune Excellence catholique depuis le 18^ème siècle.

Le Werlen ont aussi eu le privilège de vivre dans un des plus beau paysage du monde (Si vous en doutez, venez et voyez )! En outre ils ont eu aussi la chance que leurs maisons aient toujours été préservées de vraie misère ou de destruction de guerre. Dans la gamme de l’histoire des Werlen, l’Obergoms a vu la guerre en 1419 et en 1799. Mais aucun Werlen n’a été blessé et le seul dégât s’est produit en 1799 quand des soldats français ont essayé de refroidir un four de pierre avec de l'eau froide!

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De 1340 à environ1950 les Werlen ont continué de “faire les choses comme les aïeux les avaient faites”. Ils ont conservé leurs culture et traditions, par exemple leur dialecte très archaïque, semblable à l’allemand médiéval et plutôt différent d'autres dialectes suisses. Seulement une petite minorité a quitté les vallées où les ancêtres vivaient.

Ensuite, en une génération, tout a changé: la grande majorité des Werlen n'habite plus dans les vallées de leurs ancêtres. La majorité d'eux travaillent dans des bureaux (de la vache à la souris) !

Mais où qu'ils vivent et quoi qu'ils fassent, ils ont encore un rapport fort émotionnel avec la patrie de leurs ancêtres - et ils n'oublieront pas leurs racines.

P.S.

Dans les siècles passés, Dieu était bien avec les Werlen.

Cela ne veut pas dire que nos ancêtres n'ont pas aussi rencontré des revers de fortune et des jours de douleur et tristesse. Par exemple les le 4 février 1836 (pour plus d'informations cliquer Next à la fin de cette page).

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